📰 13 juillet 1942 : George Harrison Ford, le seul homme à avoir affronté Dark Vador en chantant du rock psyché
🅐 Botox-Office : le traitement qui déride le cinéma
🛸 Naissance d’une légende… en deux exemplaires
Le 13 juillet 1942, dans une maternité mobile entre Liverpool et une base rebelle, naît George Harrison Ford, fruit improbable d’un croisement cosmique entre la spiritualité hindoue, la guitare électrique et une blaster semi-automatique.
Dès ses premiers mots, il chante Something tout en pilotant une poussette-modèle Faucon Millenium. Les sages accouchants n’en reviennent pas : l’enfant a un charisme naturel, un regard de pilote de chasse, et déjà la coupe au bol réglementaire.
🎸 D’un côté, il gratte ; de l’autre, il fouette
Adolescent, George Harrison Ford hésite. Dois-je suivre le chemin de Ravi Shankar ou celui d’Indiana Jones ? Il décide de fusionner les deux. Il devient donc :
Explorateur mystique, musicien intergalactique, archéologue du groove et Jedi à mi-temps.
Il enregistre son premier morceau live pendant qu’il vole une idole maudite dans une jungle sud-américaine : « Here Comes the Doom. »
🎬 Quand la pop rencontre la pop… corn
Dans les années 70, il invente un genre nouveau : la « comédie musicale d’action ésotérique spatiale ». Le pitch de son premier film, Let It Solo :
Han Solo forme un groupe avec Ringo, Chewbacca et C-3PO. Ensemble, ils combattent l’Empire avec des solos de guitare et des citations bouddhistes.
La critique est divisée. Télérama parle de « conte psychédélique dégoulinant de distorsions et de lasers ». Les fans, eux, créent une religion. (La « Georgarisonie », reconnue par l’État de Californie depuis 1982.)
🧘♂️ Albums cultes, fouets accordés
Parmi ses disques mythiques :
- The Force Is Within You (And So Is the Sitār)
- Taxman Vs Empire
- Whip Me Baby One More Time (feat. Leia)
Son concert sur Endor est resté dans les mémoires : il y joue While My Guitar Gently Weeps pendant qu’un Ewok jongle avec des sabres laser.
📺 Harrison en talk-show galactique
Invité de The Space Late Show, il déclare :
“J’ai refusé un rôle dans Le Parrain pour tourner Yoda’s Magical Mystery Tour. Je ne regrette rien, sauf peut-être la perruque de Jabba.”
Il devient vite un habitué des talk-shows intergalactiques, où il improvise des solos de kazoo pendant qu’on lui pose des questions sur son rapport à la Force.
👴 Aujourd’hui : méditation, moustache et hologrammes
Retiré dans un ashram sur une comète discrète, George Harrison Ford cultive des tomates bio à l’énergie solaire et médite sur la composition du riff parfait. Il communique uniquement par hologramme et haïku. Exemple :
« Le sabre s’éteint –
Le sitar pleure doucement –
Han chante My Sweet Sith«
Son dernier projet ? Une série Disney+ intitulée Kenobi’s Lonely Hearts Club Band.
🅑 Box-Office, le traitement chirurgicale du cinéma
🎶 George Harrison : l’âme tranquille des Beatles
Né le 25 février 1943 à Liverpool, George Harrison est le guitariste des Beatles, souvent éclipsé par le duo Lennon-McCartney mais à l’origine de morceaux essentiels comme Something, While My Guitar Gently Weeps, ou Here Comes the Sun.
Intéressé par la spiritualité indienne, il introduit la sitar dans la musique occidentale. Après la séparation du groupe, il poursuit une carrière solo brillante (All Things Must Pass), devient producteur de cinéma (La Vie de Brian) et fonde le premier concert caritatif de l’histoire (Concert for Bangladesh). Il s’éteint en 2001.
🎥 Harrison Ford : le charpentier devenu Han Solo
Harrison Ford est né le 13 juillet 1942 à Chicago. D’abord menuisier, il est repéré par George Lucas et devient Han Solo dans Star Wars (1977), rôle qui le propulse au rang d’icône. Il incarne aussi Indiana Jones dans une saga culte dirigée par Steven Spielberg.
Acteur caméléon, il s’illustre aussi dans Blade Runner, Le Fugitif, Witness ou Mosquito Coast. Toujours actif, il a récemment repris ses rôles emblématiques dans Star Wars VII et Indiana Jones 5.
